En effet, si ce feu empoisonné de l’intérêt personnel a si bien pénétré le monde, les belles fleurs du désintéressement sont des espèces presque entièrement éteintes.
Si l’on découvrait le véritable état de désintéressement de la non-mondanité du vrai mystique, on le considérerait avec pitié comme non-composte », ou bien regardé avec suspicion comme agissant par des motifs beaucoup plus subtils que ceux qui régissent le commun des mortels.
La manière dont cette énergie magnétique sombre projetée du satellite à la terre est inversive. Les dirigeants et les hiérophantes magiques utilisent cette force pour déformer et corrompre la vérité sous toutes ses formes alors qu’elle lutte pour se manifester sur la Terre. Les pouvoirs et les influences attribués à certaines races de l’Astral appartiennent en réalité aux dirigeants et aux principautés du Satellite noir. Ils déforment impitoyablement toute vérité arcanique dans le dogme théologique de l’erreur partielle, l’amenant ainsi à assumer dans l’esprit humain la forme trompeuse des vérités externes et de la logique.
Mais la forme trompeuse n’est, après tout, qu’un sophisme très fragile quand elle est soumise à l’œil pénétrant de l’âme. Par conséquent, ce sont toujours ceux qui sont à moitié informés des mystères de la nature qui tombent dans le piège. On voit ici la vérité occulte dans le vieux proverbe: «Un peu d’apprentissage est une chose dangereuse.
De même que le satellite noir était à son périhélie, ces frères inversifs atteignirent le plus grand succès théologique et métaphysique en relançant dans le monde entier les doctrines de la «réincarnation», du «karma» et des «coquilles désincarnées». Ceux-ci ont été formulés et enseignés par les prêtrises en décomposition de l’orient rêveur. Vue sous son vrai jour, ce mouvement gigantesque de l’inversif visait à porter un coup mortel au spiritualisme de l’Occident qui se répandait rapidement. Un tel mouvement était cependant voué à l’échec final, car il existait certaines vérités absolues liées à ce spiritualisme. Cette vérité était là malgré l’ignorance de ses exposants et les nombreuses erreurs et impostures grossières.
Ces vérités ne devaient être ni supprimées par la magie inversive, ni étouffées par aucune théorie orientale.
Ces vérités ont été bien exprimées dans le livre de Yetzirah, qui stipule:
Dieu est la matière et la forme de l’univers. Tout existe en Lui; Il est au fond de toutes les choses et de tous les êtres, qui portent les symboles de son intelligence. Le Tout, Dieu et l’univers, unité parfaite. Le lien unificateur dans la création est les vingt-deux lettres de l’alphabet hébreu et les dix premiers chiffres (exprimés par les dix premières lettres). Ces deux types de signes sont appelés les trente-deux voies merveilleuses de la sagesse, sur lesquelles Dieu a fondé son nom. Ils sont identifiés avec la pensée rendue visible, et ils sont supérieurs aux corps et aux substances. Le souffle de Dieu est dans les lettres hébraïques. Ils sont également de l’homme et de Dieu.
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« Le souffle de Dieu est dans les lettres hébraïques. » cette affirmation osée nous invite à aller décrypter les récits hébraïques pour en savoir plus. Le bien et le mal sont des concepts inventés par l’homme dans sa quête de vérités afin de donner un sens à sa vie. Vouloir vivre éternellement sur la terre traduit le besoin qu’a tout homme de se perfectionner pour générer des œuvres semblables à ses aspirations divines. la vie a toujours été et sera toujours et de plus en plus pour la plus belle en dépit des catastrophes de toutes sortes qui la menace. Le corps physique dans lequel nous sommes enfermés est une conséquence des vœux de la vie qui se transforme et se réforme pour mieux faire évoluer la matière de toutes les sphères formant l’univers. L’ordre et le cahos qui règnent parmi nous sont des formes de mouvements attractifs et répulsifs agencés suivant le gré de nos perceptions, sensations et actions dans un rayon de cercle à la fois expansionniste et rébarbatif. Ce qui semble entré dans la normalité des choses qui sont et qui attendent à être en de bien meilleurs termes au profits d’une vie cristalline et unie dans le bonheur de se forger dans les douleurs que nécessite son évolution par l’acceptation des principes et des règles que cela implique. Tout est concept et on l’accepte qu’on soit conscient ou non. Car c’est la condition primordiale pour approcher les choses qui ne sont que des doses d’une pluralité qui s’harmonise autour d’une unité bien diversifiée qu’est la vie. Elle imprègne la matière et la gouverne comme bon la semble. pour se faire, elle donne naissance à l’imagination, la pensée et la parole dans une perfection qui se perfectionne à travers le temps. Ton travail de rééducation en est un exemple parmi tant d’autres. L’erreur et la reussite constituent une façon de mesurer ses progrès quand on décide d’abonder dans un sens ou dans l’autre. Le paradis quand à lui est une idée qu’on se fait pour mieux agencer les paroles et les faits dans les espaces de pensée et sentiments psychiques et environnementaux. En ce sens nous sommes donc condamnés à vivre tout en étant libre dans le choix de nos aspirations les plus folles. Cette sensation je la sens en parcourant ce présent texte parsemé de connaissances pointues et limitées à ceux qui sont versés dans la lecture des penseurs chevronnés. Tout est à sa place, même le déluge ou la chute de Babel. Vivons nos rêves les plus fous sans pour autant chercher à se préoccuper des échelles de valeurs des autres. Il suffit d’être un allié de la vie en toute circonstance et cela suffit. Car c’est ainsi que nous parviendrons à faire vibrer toute la création qui dans sa chanson n’emet que deux sons qui sont en rapport avec les actions et les réactions au cœur des échos de nos réalisations.
Bonne continuité mon ami pour tes belles réflexions.
Je ne comprends pas comment en un rien de temps tu arrives à absorber tant de subtilités et dégager une réplique adéquate qui me fait réaliser que dès qu’on se retrouve en symbiose les pensées les plus profondes sont dégagées si simplement qu’on croirait que le monde entier allait emboîter le pas.