LE BIEN, LE MAL ET LA SOUFFRANCE; ULTIME NÉCESSITÉ DE LA VIE HUMAINE

Quand  on dit que la Bible a les réponses à tout et que rien ne doit y être ajouté ou retranché, il suffit seulement de savoir transcender les mots qui sont des coquilles à l’intérieur desquelles sont renfermés les joyaux précieux qui ne devraient pas être jetés aux pourceaux.

.« Le problème du mal dépasse l’entendement humain, et c’est pourquoi on ne peut le résoudre par le raisonnement. En réalité, le mal n’existe réellement et n’est réellement redoutable que pour les faibles et les ignorants ; ils n’ont pas appris à le dominer pour l’utiliser. Ce mal dont la religion a tellement parlé sans le comprendre, les fils de Dieu, les Initiés, les grands Maîtres le considèrent comme une matière précieuse, riche, que l’on peut exploiter et faire servir aux plus grandes réalisations. Parce qu’ils sont très forts, très purs, les Initiés osent s’attaquer au mal en plongeant dans les profondeurs obscures de leur être ; et grâce à cette audace ils ramènent des trésors. Comme les pêcheurs qui plongent dans l’océan et qui, ayant réussi à échapper aux algues, et aux requins, rapportent des huîtres perlières.

Ces expériences ne sont évidemment pas à conseiller à tous. Seuls très peu d’êtres sur la terre peuvent se permettre de descendre jusque dans les profondeurs de leur nature pour en ramener une matière qu’ils arriveront à sublimer. Mais il est utile que vous sachiez tous que c’est possible. » Omraam Mikhaël Aivanhov.

Le mal fait partie du plan divin.

Gen. 3:23 Et Jéhovah Dieu le chassa du jardin d’Eden, pour cultiver la terre dont il avait été pris.

Gen. 3:24 Alors il a chassé Adam; et il mit à l’orient du jardin d’Eden les chérubins, qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie.

En disant que le mal dépasse la compréhension humaine, c’est prononcer la condamnation de l’homme sans jugement et le condamner a vivre éternellement  ici, ce qui n’est pas dans le plan divin.

Le mal n’est pas un concept créé par les dualistes religieux, mais une prérogative divine, lorsqu’il envoie l’homme ici pour cultiver la terre, c’est-à-dire pour maitriser le bien et le mal sous tous leurs aspects.

Genèse 3: 22 L’Eternel Dieu dit: Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, à la connaissance du bien et du mal, empêchons-le de faire avancer sa main, de prendre l’arbre de vie, de le manger et de vivre  éternellement.

Si au lieu de fuir la pauvreté et la souffrance, nous faisions face au mal apparent qui l’accompagne , et considérions le bien qu’elles recèlent, le mal disparaitrait.

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3 commentaires

  1. Ceci étant dit, nous devons affronter avec confiance, persévérance, humilité et sagesse tous nos problèmes afin de résoudre le problème du bien et du mal. Mais il faut se constituer en équipe ayant les mêmes difficultés et qui cherche consciemment une solution. Sinon, on n’y parviendra pas. Est-ce pourquoi, Jésus nous invite d’abord à l’amour de Dieu et a l’amour mutuel pour que nous nous mettions au-dessus de cette dualité par l’unité de cœur et de volonté à vivre dans l’harmonie suivant les principes universels qui régissent les êtres et les choses.

    1. L’erreur que commet la plupart des gens est de croire qu’il faut attendre ou aider les autres que nous jugeons ont besoin de notre aide pour reconnaître qu’il sont des êtres humains dynamique capable de développer le divin en eux. Le but principale de notre venu dans cette existence terrestre. Nous sommes des êtres spirituels faisant une expérience physique non matérialiste. On ne peut pas juger qui est dans le kindergarten et ceux qui sont très avancés, alors, c’est une utopie de croire qu’on peut aider qui que ce soit. D’ailleurs, il est bien mentionné que: Le salut est personnel. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est pour nous éviter de perdre un temps précieux qui d’ailleurs est très court pour arriver à ce perfectionnement dont il est question.
      Ne jugez point pour ne pas être juger.

  2. Comme le bien est l’opposé du mal, la souffrance est le contraire du bien-être. Après avoir mangé le fruit défendu, l’homme a découvert l’autre face de la médaille au profit d’une vue complète de son être multidimensionnel. A cet instant, notre conscience avait pris une nouvelle dimension nécessaire à la maitrise de la dure réalité de nos vies lesquelles sont constituées de nos choix conscients ou inconscients. Mais, peut-on considérer pour autant ces concepts comme des nécessités ultimes de la vie humaine ? A mon avis, je dirais qu’ils font partie de l’inévitable qui est issu des échanges que nous faisons sans cesse avec notre environnement externe et interne. Bref, ils sont des indicateurs de la qualité de nos choix, une mesure du pourquoi et du comment notre manière d’être et de sentir à tout moment de la durée.

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