LE BIEN, LE MAL ET LA SOUFFRANCE; ULTIME NÉCESSITÉ DE LA VIE HUMAINE

Maître Aïvanhov n’a pas tout à fait tort mais, il semble qu’il n’a pas lu la Bible, pour preuve, ces versets évoqués dans le chapitre 3 de la Genèse démentent tout ce qu’on lui attribue ci-dessus.

Gen.3: 22 Et  l’Éternel Dieu dit: Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant de faire avancer sa main, de prendre l’arbre de vie, de le manger et de vivre éternellement.

(Voir texte sur pourquoi vouloir vivre éternellement sur terre) frantzrimpel.com

Ce verset montre que l’Eternel Dieu n’était pas le seul à façonner la terre qui était une boule de feu qui n’était pas encore refroidie dans l’univers afin de devenir une planète à part entière, que les Elohim , des intelligences aussi involuées ont préparé pour accueillir les âmes involuées en vue de leurs re-évolutions.
En cherchant bien dans les écrits saints , surtout dans la bible, dans laquelle se trouve toujours toutes les solutions, nous verrons pourquoi le Créateur nous a dotés des sens et les a tous mis devant nous. C’est pour que nous puissions aller toujours de l’avant,  parce que tout se transforme et évolue, il n’est donc pas nécessaire de revenir en arrière pour trouver quoi que ce soit.
Nos trouvailles dans nos recherches archéologiques ne pourront pas servir à grand-chose, sauf nous retarder dans notre quête du salut.

Je n’ai pas dit; notre quête spirituelle , ce qui serait un pléonasme, puisque nous sommes des êtres spirituels en train de faire une expérience dans le monde physique, pas le contraire, un raisonnement sur lequel les religions ont construit leurs dogmes en propageant leur logique d’un Dieu et d’un diable comme son adversaire, l’élément de blocage qui retarde tout processus de libération de l’âme.

Là, je donnerais un crédit à Aivanhov.

Jésus était venu élucider le mystère de la Sainte Trinité, qui n’est pas le Père, le Fils et le Saint-Esprit, mais pour montrer que l’homme était un être trin qui peut vivre sur trois dimensions, physique, Astrale et Causale, c’est pourquoi Il s’est exclamé: « Mon peuple meurt faute de connaissances.”

Il a été étonné de voir que nous appelions miracles ce qu’il trouvait tout naturel , et qui est accessibles à tous. Il est parti en disant que nous pouvions faire tout ce qu’il avait fait, sinon plus,  si on demandait à la montagne de bouger elle obéirait. Qui l’a fait depuis?

Revenons au mal qui fait l’objet de ce texte.

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3 commentaires

  1. Ceci étant dit, nous devons affronter avec confiance, persévérance, humilité et sagesse tous nos problèmes afin de résoudre le problème du bien et du mal. Mais il faut se constituer en équipe ayant les mêmes difficultés et qui cherche consciemment une solution. Sinon, on n’y parviendra pas. Est-ce pourquoi, Jésus nous invite d’abord à l’amour de Dieu et a l’amour mutuel pour que nous nous mettions au-dessus de cette dualité par l’unité de cœur et de volonté à vivre dans l’harmonie suivant les principes universels qui régissent les êtres et les choses.

    1. L’erreur que commet la plupart des gens est de croire qu’il faut attendre ou aider les autres que nous jugeons ont besoin de notre aide pour reconnaître qu’il sont des êtres humains dynamique capable de développer le divin en eux. Le but principale de notre venu dans cette existence terrestre. Nous sommes des êtres spirituels faisant une expérience physique non matérialiste. On ne peut pas juger qui est dans le kindergarten et ceux qui sont très avancés, alors, c’est une utopie de croire qu’on peut aider qui que ce soit. D’ailleurs, il est bien mentionné que: Le salut est personnel. Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est pour nous éviter de perdre un temps précieux qui d’ailleurs est très court pour arriver à ce perfectionnement dont il est question.
      Ne jugez point pour ne pas être juger.

  2. Comme le bien est l’opposé du mal, la souffrance est le contraire du bien-être. Après avoir mangé le fruit défendu, l’homme a découvert l’autre face de la médaille au profit d’une vue complète de son être multidimensionnel. A cet instant, notre conscience avait pris une nouvelle dimension nécessaire à la maitrise de la dure réalité de nos vies lesquelles sont constituées de nos choix conscients ou inconscients. Mais, peut-on considérer pour autant ces concepts comme des nécessités ultimes de la vie humaine ? A mon avis, je dirais qu’ils font partie de l’inévitable qui est issu des échanges que nous faisons sans cesse avec notre environnement externe et interne. Bref, ils sont des indicateurs de la qualité de nos choix, une mesure du pourquoi et du comment notre manière d’être et de sentir à tout moment de la durée.

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