Le grand et intrépide Saint, Paltu Sahib, a décrit tout ce processus spirituel le plus admirablement sous le titre: « Un puit inversé est là-haut » (voir poème en fin de page). La lumière éternelle ou la lumière vigile, utilisée dans certaines églises, symbolise cette flamme éternelle intérieure. La flamme à l’intérieur de l’être humain est aussi le nouveau nom écrit dans le front des rachetés comme mentionné dans les révélations. Sa réflexion est dans le cœur humain comme les tables de la loi vivante, écrites par le doigt de Dieu. Cela établit à nouveau une unité plus étroite entre les écrits de l’ancien testament et le nouveau, et les enseignements clairs des Saints modernes. L’essence de Dieu est la vérité et l’amour comme celui qui traverse le noyau central pour soutenir et soutenir toute la création. Heureux sont ses enfants qui trouvent ce moyen direct de libération, à partir du cœur de toutes choses.
« Que ton nom soit sanctifié »: Le nom sacré de Dieu est sa parole, son Saint courant sonore comme l’énergie divine et la musique. C’est son Esprit Saint qui soutient toutes choses. C’est la vraie rivière de la vie qui s’écoule du trône éternel comme le souffle de Dieu de la vie et l’émanation. C’est le Saint Shabd ou mot, selon tous les Saints. Les Grecs l’ont appelé le «logos», comme la raison finale de la création. L’âme essaie de syntoniser ce courant sonore éternel par le respect et l’attention de dévotion à l’intérieur, et peut le faire après que le Saint ou le Sauveur a lié l’âme à elle.
« Que Ton règne vienne, Que ta volonté soit faite sur la terre, comme au ciel. « Le Royaume du Seigneur est son Saint courant sonore comme sa volonté dans la terre. Le dévot prie pour que ce soit en lui aussi, dans toutes les régions physiques (Terre) sous ses sourcils, pour le diriger dans chaque pensée, parole et acte.
« Donne-nous ce jour notre pain quotidien. » c’est vraiment une prière pour le nectar spirituel, la manne du ciel comme symbolisée par les pains dans le temple. Le mot hébreu Bethléem signifie la maison du pain. Dans le corps humain, c’est la région appelée le plexus solaire. C’est le pouvoir du feu de la digestion par laquelle le corps vit; ainsi aussi l’esprit ou l’âme vit par son nectar. L’effort est d’unifier l’intérieur, et les énergies de la vie extérieure comme spirituelle et physique à travers un courant par Sa Sainte Volonté ou Shabd, le Mot. Jésus était de Bethléem, le symbole de la manne ou du nectar de la vérité du ciel. La conscience est maintenant descendue au Chakra Manipura, pour lequel l’unité est plaidée afin de réaliser sa volonté dans tous les actes terrestres, rendu possible par la nourriture spirituelle et terrestre.
« Et pardonne-nous nos dettes, comme nous pardonnons à nos débiteurs. » puisque toutes les choses s’écoulent du courant sonore éternel, nous devons réaliser notre endettement à Dieu pour tous les dons que nous recevons et traiter également avec d’autres âmes dans notre conduite quotidienne, afin de rester à l’écoute dans ce courant le pardon et les bénédictions constants du tout-puissant comme un flot de réalité qui coule toujours.
Le verset 12, ainsi que 14 et 15 font ressortir la loi même du pardon. Comme nous pardonnons aux autres par l’amour, nous sommes donc pardonnés par l’amour seul. Si nos cœurs sont endurcis par notre propre justice, alors nous vivons dans ce modèle mental et sommes piégés par elle. Le pécheur peut avoir repenti plusieurs fois et obtenu le pardon en faisant mieux ou même en essayant sincèrement de faire mieux et en continuant à le faire. En d’autres termes, il devient humble en réalisant ses faiblesses et en s’efforçant de les surmonter par l’amour et la grâce du Seigneur. Tandis que pendant tout ce temps, la personne vertueuse s’attarde sur son mérite d’une part tout en demeurant totalement inconsciente de ses faiblesses; ainsi, les énergies sont gaspillées d’abord dans la fierté et d’autre part en continuant avec les fautes qu’il ne voit pas en lui-même. Matthew. 5:25, 26, ainsi que Mat. 6:14, 15 sont de bonnes illustrations de cette loi qui est énoncée très brièvement dans le verset 12.
Notre père qui est aux cieux, que ton Nom soit sanctifié….
Cette prière simple mais intarissable en enseignements a toujours été au cœur des débats entrepris par les chercheurs de vérités depuis plus de 2000 ans.
Ce poème qui approche la réalité du Père comme une flamme inversée, est une des tentatives fascinantes pour approcher la réalité insaisissable que représente le Père des pères de nos paires depuis que la paire formée du Père et de sa parole avaient entrepris de créer l’univers pour nous plaire. La vie dans sa persistance à se retrouver face elle-même pour mieux s’appréhender dans les sillons d’une existence à la fois mystérieuse et sensationnelle, s’émerveille pour la plus belle dans les yeux étincelants des coeurs en éveil dans leur quête de merveilles sans pareille. Vue sous cet angle, tout entre dans l’ordre du mysticisme par les mouvements, les sons et la perception de la lumière animés sous la cadence des changements qui ne changent pourtant pas mais qui nous bercent les cœurs d’espoir dans l’illusion de vouloir saisir le sens et la compréhension d’une présence réfléchie et reflétée de milles manières sans être la même dans le même être dans les secondes suivantes. En d’autres termes, la vie qui est le centre de la terre et de l’univers peut-être comprise comme étant le temple de Dieu et le Dieu du temple qui se contemple sur la surface lisse de sa lumière émanant des étincelles d’une flamme par laquelle il entretient le grand et le petit dans un cercle circonscrit dans un plan qui tend vers l’infini positif partant de l’infini négatif pour nous ponctualité dans l’espace temps d’un présent impalpable et insaisissable. C’est le don le plus sacré et qui témoigne son grand amour pour sa création bondée de créatures qui savourent chaque instant présent pour apprécier par les sens et le non sens chaque expérience afin de trouver le bon sens qu’il y a en chaque chose constituant son environnement visible et invisible. Aussi, avons nous créé des concepts et des objets de mesure et de foi de tout acabit et qui disent long sur notre condamnation à chercher à savoir pourquoi, comment et où, à toute époque par soucis d’être de mieux en mieux jusqu’à incarner l’état originel de notre conception du Père créateur. C’est donc à raison que la bible dans le livre des Psaumes avance que « nous sommes des dieux ». Le stade d’être homme est révolu depuis pour ceux-là qui ont compris après avoir appris la vanité des systèmes de choses érigés par les homme dans le but de nous faire oublier qui nous sommes vraiment. Mon royaume n’est pas de ce monde rétorqua Jésus à Ponce Pilate qui malgré lui arriva au seuil d’une réalité plus grande que sa propre réalité et qui l’obligea à laver les mains pour exprimer son incompréhension de la manifestation d’une puissance supérieure à celle qu’il eut en sa possession. Qu’est-ce que la vérité ? Fut là sa question ultime qui témoigne son état d’homme perplexe devant le Dieu qui s’apprêtait à donner sa vie en exemple pour nous, qui voulons devenir semblable à lui en paroles, en puissance et en compassion. Mon ami, j’avoue que je suis profondément touché par les efforts que tu consens dans le sens à éclairer la voie du salut pour que les autres ne trébuchent ni ne tombent dans les pièges de l’illusion. Merci car cela a permis que je participe aussi par mes réactions en contribution. Bonne continuité!
En lisant ce commentaire, j’ai comme l’impression que je suis en face de Michael Ange, qui , au lieu de peindre un de ses chef-d’œuvre a préféré le présenter sous forme d’écriture ✍️ , un tableau ou tout un chacun puisse mettre sa touche.
Je ne crois pas qu’un aussi beau joyaux était resté enfoui sous les décombres d’un mental .
Ce n’est pas le fruit du hazard si nous nous sommes rencontrés à ce moment précis, c’est pour se completer afin d’atteindre une plus large audience.
Merci encore au génie qui t’habite pour vouloir s’harmoniser avec le mien afin que d’autres génies puissent se joindre à nous.