Le poème * * *
« Un puit inversé est là-haut, et y brûlant une lampe;
La lampe y brule sans l’huile et sans la mèche.
Il brûle nuit et jour; pour les six saisons et les douze mois,
Lui seul voit qui a le Satguru avec lui.
Car, sans le Satguru il reste jamais invisible.
De l’intérieur de la flamme de la lampe sort une mélodie.
Lui seul écoute qui se trouve dans ‘GYAN Samadhi’.
Quiconque écoute, ô Paltu, est celui qui a la foi parfaite.
Dans le puit inversée au-dessus brûlant la lampe qui ne palie jamais.
(C’est une forme très inhabituelle de poésie et est appelé un «Kundli». Paltu Sahib était un maître de ce genre de poésie particulière. Une tentative de retenir le sens original a été faite en rendant cette traduction.)
Dans la Bible, cette lumière au sein de l’homme est mentionnée dans Apocalypse 22:5 comme suit:
« Et il n’y aura pas de nuit-là; pas besoin de bougie, ni la lumière du soleil;
Car le Seigneur Dieu leur donne la lumière: et ils régneront pour toujours et à jamais.
« La grande pyramide de Gizeh a été construite au centre de la terre, comme un temple de Dieu sur la terre, pour commémorer sa création et pour donner des allusions à son mystère intérieur à la postérité. Il a des passages symboliques et des chambres à l’intérieur pour expliquer davantage le mystère de l’homme à lui-même.
Les Atlantes avaient construit une immense tour semblable à celle de Babel-et qui ressemblait à la pyramide. Les anciens indiens d’Amérique du Nord et du Sud ont également construit des monticules, des pyramides et des temples pour une raison semblable, outre l’intention d’adorer soit en eux ou à la base.
L’intention originelle était d’apporter à l’esprit de l’homme maintes et maintes fois, de diverses façons et des symboles que tous ceux-ci ne sont que des répliques du véritable lieu de culte en lui-même. Mais, hélas, l’homme a oublié le symbolisme réel et l’origine des temples extérieurs, des églises, des mosquées, des Tabernacles, etc. Dans lequel il vénère Dieu à l’extérieur. Ces formes extérieures sont vénérées comme des lieux sacrés tandis que le véritable sanctuaire de l’homme, l’âme dans son propre corps, est négligée ou oubliée.
« Ma propre vigne que je ne soigne pas »
(Cantique des cantiques)
Notre père qui est aux cieux, que ton Nom soit sanctifié….
Cette prière simple mais intarissable en enseignements a toujours été au cœur des débats entrepris par les chercheurs de vérités depuis plus de 2000 ans.
Ce poème qui approche la réalité du Père comme une flamme inversée, est une des tentatives fascinantes pour approcher la réalité insaisissable que représente le Père des pères de nos paires depuis que la paire formée du Père et de sa parole avaient entrepris de créer l’univers pour nous plaire. La vie dans sa persistance à se retrouver face elle-même pour mieux s’appréhender dans les sillons d’une existence à la fois mystérieuse et sensationnelle, s’émerveille pour la plus belle dans les yeux étincelants des coeurs en éveil dans leur quête de merveilles sans pareille. Vue sous cet angle, tout entre dans l’ordre du mysticisme par les mouvements, les sons et la perception de la lumière animés sous la cadence des changements qui ne changent pourtant pas mais qui nous bercent les cœurs d’espoir dans l’illusion de vouloir saisir le sens et la compréhension d’une présence réfléchie et reflétée de milles manières sans être la même dans le même être dans les secondes suivantes. En d’autres termes, la vie qui est le centre de la terre et de l’univers peut-être comprise comme étant le temple de Dieu et le Dieu du temple qui se contemple sur la surface lisse de sa lumière émanant des étincelles d’une flamme par laquelle il entretient le grand et le petit dans un cercle circonscrit dans un plan qui tend vers l’infini positif partant de l’infini négatif pour nous ponctualité dans l’espace temps d’un présent impalpable et insaisissable. C’est le don le plus sacré et qui témoigne son grand amour pour sa création bondée de créatures qui savourent chaque instant présent pour apprécier par les sens et le non sens chaque expérience afin de trouver le bon sens qu’il y a en chaque chose constituant son environnement visible et invisible. Aussi, avons nous créé des concepts et des objets de mesure et de foi de tout acabit et qui disent long sur notre condamnation à chercher à savoir pourquoi, comment et où, à toute époque par soucis d’être de mieux en mieux jusqu’à incarner l’état originel de notre conception du Père créateur. C’est donc à raison que la bible dans le livre des Psaumes avance que « nous sommes des dieux ». Le stade d’être homme est révolu depuis pour ceux-là qui ont compris après avoir appris la vanité des systèmes de choses érigés par les homme dans le but de nous faire oublier qui nous sommes vraiment. Mon royaume n’est pas de ce monde rétorqua Jésus à Ponce Pilate qui malgré lui arriva au seuil d’une réalité plus grande que sa propre réalité et qui l’obligea à laver les mains pour exprimer son incompréhension de la manifestation d’une puissance supérieure à celle qu’il eut en sa possession. Qu’est-ce que la vérité ? Fut là sa question ultime qui témoigne son état d’homme perplexe devant le Dieu qui s’apprêtait à donner sa vie en exemple pour nous, qui voulons devenir semblable à lui en paroles, en puissance et en compassion. Mon ami, j’avoue que je suis profondément touché par les efforts que tu consens dans le sens à éclairer la voie du salut pour que les autres ne trébuchent ni ne tombent dans les pièges de l’illusion. Merci car cela a permis que je participe aussi par mes réactions en contribution. Bonne continuité!
En lisant ce commentaire, j’ai comme l’impression que je suis en face de Michael Ange, qui , au lieu de peindre un de ses chef-d’œuvre a préféré le présenter sous forme d’écriture ✍️ , un tableau ou tout un chacun puisse mettre sa touche.
Je ne crois pas qu’un aussi beau joyaux était resté enfoui sous les décombres d’un mental .
Ce n’est pas le fruit du hazard si nous nous sommes rencontrés à ce moment précis, c’est pour se completer afin d’atteindre une plus large audience.
Merci encore au génie qui t’habite pour vouloir s’harmoniser avec le mien afin que d’autres génies puissent se joindre à nous.