Ce Qui est important à savoir.
Il faut se réveiller pour embrasser la vraie connaissance qui libère.
Aivanhov, que je cite souvent ces jours-ci, m’accompagne dans la méthode de rééducation qui comme il l’a mentionné dans son message ci-dessous ; vous devriez savoir les choses qui vous concerne et vous sont utile d’abord, votre corps dont vous sentez chaque réaction. Roger Bacon nous dit : Il faut étudier le plus simple avant le plus compliqué.
Aivanhov nous livre le SECRET dans LE LIVRE DE LA VIE.
La science du Corps intérieur et la science de l’Âme sont les premières à apprendre, c’est là ou l’adage (Médecin Guéris-toi, toi-même) devient important.
Voilà une ébauche du petit livre qui vous ouvrira la porte a une grande connaissance mais très simple.
« Un grand Maître, un grand Initié est un être qui connaît la structure de l’homme et de la nature, ainsi que les échanges qu’il doit faire avec elle par ses pensées, ses sentiments et ses actes. C’est pourquoi les Orientaux disent qu’en cinq minutes auprès d’un véritable Maître, on apprend davantage qu’en restant vingt ans dans la meilleure université du monde. Auprès d’un Maître on apprend la science de la vie, parce que tout grand Maître apporte avec lui la vraie vie.
La grande différence entre les études que l’on fait à l’Université et celles que l’on fait dans une Ecole initiatique, c’est qu’à l’Université, on apprend tout ce qui est extérieur à la vie, et après plusieurs années de ces études on se retrouve identique à soi-même, avec les mêmes faiblesses, les mêmes imperfections. Bien sûr, on est peut-être devenu un savant distingué et célèbre, on a appris à manipuler des instruments, à faire des citations, à se servir de sa langue, et même à gagner beaucoup d’argent, mais les possibilités de déformer la mentalité des autres ont aussi augmenté. Au contraire, celui qui étudie la Science initiatique constate, après un certain temps, une profonde transformation en lui- même : son discernement, sa force morale ont augment et il est une bénédiction pour les autres. Etudier à l’Université, c’est analyser un fruit en laboratoire à l’aide de tous les procédés physiques et chimiques; c’est apprendre de quels éléments se composent la peau, la pulpe, les pépins, le suc, mais sans jamais goûter le fruit, sans jamais le découvrir à l’aide des instruments naturels que Dieu a mis à notre disposition, sans en ressentir les effets. La Science initiatique ne vous apprendra peut-être rien sur la composition physique du fruit, mais elle vous apprendra comment le manger, et vous vous apercevrez peu après que tous vos rouages intérieurs sont mis en activité, qu’ils sont vivifiés, équilibrés. Et c’est alors que vous pourrez vous lancer dans l’étude du grand livre de la nature; vous y découvrirez les aspects physiques, chimiques, astronomiques, mieux expliqués que dans les ouvrages des universitaires, et vous verrez comment ils sont liés entre eux. Il est utile d’approfondir certaines disciplines, chacune d’elles nous révèle un aspect de l’univers et de la vie, mais étant donné la manière dont on étudie actuellement, on ne pénètre que le côté mort des choses. On s’apercevra un jour qu’il faut vivifier les sciences, c’est-à-dire les retrouver dans tous les domaines de l’existence. C’est alors que les formules mathématiques, par exemple, les formes et les propriétés géométriques parleront un autre langage, et on découvrira que ce sont les mêmes lois qui régis- sent nos pensées, nos sentiments et nos actes. »
Omraam Mikhael Aivanhov
Que de connaissances étalées dans ce texte traitant de l’existence ou pas de la chance. L’astromie et l’astrologie se croisent et s’entrecroisent en des termes purement techniques pour asseoir une nouvelle compréhension de ce concept fort souvent mal interprété par la plupart. La connaissance libère dans la mesure où elle est précédée par une bouffée de foi dans une soif étanche de vérité. Toute la bible nous invite à mener une vie responsable, saine et déterminée à vivre dans l’amour et la sagesse en toute simplicité afin que tout aille bien pour nous. Dans le même sens Jean Baptiste avance que l’on peut rien recevoir sans la permission du ciel. Tout ce que tu avances tient en entier concernant la chance obéissant à la loi des causes et des conséquences. Toutefois, je trouve que cette démarche vers la libération par la connaissance fait trop appel à notre sens logique et déductif, lequel relève du mentale. Ce dernier met trop de temps pour être en adéquation avec les urgences très urgentes du moment. C’est pour éviter le recours à toutes ces études que Jésus avait promis à ses disciples la venue de l’esprit Saint qui leur aura appris toute chose au moment opportun. D’autres part, le Maître Aivanhov avançait que se purifier donne accès à des sphères de connaissances jusque là insoupçonnées. Le monde est rempli d’exemple de gens n’ayant pas fait d’études mais qui étaient parvenu à éclipser même les savants les plus chevronnés en un laps de temps tant en connaissance mais aussi en puissance. D’ailleur je peux te classer dans la liste, compte tenu du fait que ton passé académique très bref et tes parcours en sens ascendant dans tous les milieux influents et exigeants en terme de compétences et d’expériences éveillent la curiosité sur ta transcendance. En résumé, j’approuve ta conception de la chance qui ne se relève pas du hasard mais plutôt d’un comportement favorable au prime abord et qui produit certain résultats au profit du semeur de la bonne semence dans un passé indéterminé. Après avoir compris tout ça, je crois que l’invitation est faite à tout un chacun de vivre sagement aujourd’hui pour récolter amplement demain sans penser ni au hasard ni à la chance. Et servons nous de nos cerveaux pour apprendre à vivre dans le présent avec un cœur grand ouvert et prédéterminé à anticiper les merveilles de la vie par le biais de nos expressions sentimentales à l’egard de tout ce qui est beau, agréable et justes. Car toutes nos chances se jouent à l’instant même que vous comprenez que l’amour dans la bonté est notre bénédiction pour l’éternité. Par dessus tout, faisons l’effort de toujours avoir la tête dans le ciel et les pieds sur terre. C’est-à-dire, nous devons apprendre à vivre l’éternité à chaque instant de nos courtes existence tout en prenant le soin d’assumer amplement et honnêtement nos responsabilités. Mais comment vivre l’éternité à chaque seconde? En apprenant à inspirer et à respirer à la gloire de Dieu et suivant sa volonté. C’est ainsi que nos échanges avec les autres vont êtres des occasions pour manifester cette parcelle de Dieu en nous et laquelle est de toute éternité. Et si par mégarde nous commettons une erreur, admettons la et décidons nous à éviter sa répétition. C’est une forme d’auto ajustement en permanence apte à polir le cristal que nous appelons à être afin que toutes les vertus de l’univers nous traversent sans obstacles ni efforts jusqu’à aller purifier les autres en contacts avec nous pour une unité parfaite. La vérité est une comme l’a dit Joseph Campbell et les sages l’abordent sur des angles différents. Là où le cœur brûle au feu de l’amour les échanges de cœur se multiplient pour le redressement de ceux-là qui n’attendaient que ça pour s’ouvrir à la vraie vie. Voilà comme je décrirais l’utilité de ton traité sur la chance mon ami: « un bel acte d’amour »
Merci et bonne continuité dans l’epoir de toucher les âmes endormies!
En guise de réponse, je rebondirais sur les versets que tu m’as fait parvenir ce matin comme suit:
*Men franse a*
Rom 15 v 1-3
1 Or nous devons, nous qui sommes forts, supporter les infirmités des faibles, et non pas nous complaire à nous-mêmes.
2 Que chacun de nous donc complaise à son prochain pour son bien, pour son édification.
3 Car même Jésus-Christ n’a point voulu complaire à soi-même, mais selon ce qui est écrit de lui: les outrages de ceux qui t’outragent sont tombés sur moi.
Nous ne faisons que ça cher ami en proposant cette béquille qui apporte comme Jésus , la parole , pour que les mal-éduqués puissent y associer leur grand savoir , Scientifiques, philosophiques, moraux qui n’ont pas fait leurs preuves, parce que trop égoïstes et matérialistes.