Lord Caitanya Mahaprabhu a rendu ce processus très facile : Il a demandé aux gens simplement de chanter Hare Krsna, Hare Krsna, Krâna Krsna, Hare Hare / Hare Rama, Hare Rama, Rama Rama, Hare Hare et de s’engager dans le service de dévotion du Seigneur et de manger les restes de nourriture offerte à la Déité.
Cela ne veut pas dire, sacrifice offerte aux esprits invisibles, les Loas du vodou (Haïtiens,) Mais, c’est une façon de nous dire qu’il faut prier sur la nourriture pour la bénir (le pain quotidien reçu) avant d’en consommer. Et surtout, pas n’importe quelle nourriture !
Celui qui est directement engagé dans toutes ces activités de dévotion devrait être compris d’avoir étudié toute la littérature védique et d’être venu à la conclusion parfaitement.
Bien sûr, pour les personnes ordinaires qui ne sont pas conscientes ou engagées dans le service de dévotion, ce qui doit être fait et ce qui ne doit pas être fait doit être décidé par les injonctions des Védas. Il faut agir ce selon, sans argument. C’est ce qu’on appelle le fait de suivre les principes du sâstra, ou des Écritures. Sastra est libre des quatre principaux défauts visibles dans l’âme conditionnée : les sens imparfaits, la propension à tricher, la certitude de commettre des erreurs, et la certitude d’être illusionné. Ces quatre défauts principaux dans la vie conditionnée disqualifient quelqu’un qui ne respecte pas les règles et règlements.
Par conséquent, les règles et règlements décrit dans le sastra-être au-dessus de ces défauts sont acceptés sans altération par tous les grands saints, âcâryas et grandes âmes. En Inde en particulier il y a beaucoup de parties de compréhension spirituelle généralement classés comme deux : l’impersonalists et le personnaliste. Les deux, cependant, mènent leur vie selon les principes des Védas, Sans suivre les principes des Écritures, on ne peut pas s’élever à l’étape de la perfection. Dans la société humaine, l’aversion pour les principes de compréhension de la Personnalité Suprême de La Divinité est la cause de toutes les chutes. C’est la plus grande offense de la vie humaine. Par conséquent, l’énergie matérielle de la Personnalité Suprême de la Divinité, nous donne toujours des ennuis sous la forme des trois misères. Cette énergie matérielle est constituée des trois modes de nature matérielle. Il faut s’élever au moins au mode de bonté avant que le chemin de la compréhension du Seigneur Suprême soit ouvert. Sans s’élever à la norme du mode de bonté on reste dans l’ignorance et la passion, qui font que l’on devient progressivement démoniaque.
Ceux qui sont dans les modes de passion et d’ignorance se moquent des Écritures, se moquent des saints hommes et se moquent de la bonne compréhension de la Personnalité Suprême de la Divinité. Ils désobéissent aux instructions du maître spirituel, et ils ne se soucient pas des règlements des écritures. En dépit d’entendre les gloires du service de dévotion, ils ne sont pas attirés par elle, et donc ils fabriquent leur propre façon d’élévation. Ce sont quelques-uns des défauts de la société humaine qui conduisent à l’état démoniaque de la vie. Si, cependant, on est capable d’être guidé par un maître spirituel vivant approprié et de bonne foi, qui peut conduire à la voie de l’élévation à la plus haute étape, alors il réussit sa vie.
Tableau montrant la marche vers l’évolution.
Ainsi, se termine la Bhakti vedanta au seizième chapitre de la Srimad Bhagavad-gita sur la question des natures divines et démoniaques.