Y A T-IL UN ANGE QUI NOUS GARDE ? Que dit la bible?

Voyons maintenant avec la Bible .

EN PASSANT À TRAVERS L’HEXATEUQUE
On retrouve :

Balaam le Mystic
Nombres, chapitre 22, 23 ET 24)
En étudiant cet incident cryptique dans la Bile. Une déclaration encore plus insoupçonnée a été trouvé qui est souvent négligé ou mal compris comme toujours en ce qui concerne la Bible.
Cela apparaît dans le chapitre vingt-deux des Nombres.

Balaam était un prophète de Bel, le dieu de la lumière des Madians. La triade babylonienne d’Anu-Bel et Ea, dans le pays de Madian. Il a été consulté par les princes et les grands hommes de son temps.
Le roi Balak de Moab a envoyé des messagers auprès de Balaam, avec des cadeaux, et lui a demandé de venir maudire les Israelites qui étaient sur le point d’envahir Moab, Balaam n’a pas donné de réponse immédiate, mais a d’abord demandé conseil à Dieu.
Et Dieu a parlé à Balaam. « Tu ne partiras pas avec eux ; tu ne maudiras pas le peuple. » (Num :22 :12) Sur quoi Balaam refusa de partir avec eux.
Après que plus de messagers et plus de princes portant des cadeaux et de grands honneurs prometteurs ont été envoyés à Balaam, il leur a donné une réponse simple : « Si Balak me donnait sa maison pleine d’argent et d’or, je ne peux pas aller au-delà de la Parole du Seigneur Jéhovah) mon Dieu (No. 22 : 18) un point, c’est tout. « Jéhovah Dieu était aussi réel pour le voyant Balaam que l’étai Bel Marduk de Babylone !

Encore une fois, cet incident inhabituel souligne que LA VÉRITÉ EST UNE DANS L’ESSENCE À L’INTÉRIEUR, QUEL QUE SOIT LA DIVERSITÉ ET L’OPPOSITION DES APPARENCES EXTÉRIEURES.
Israël faisait la guerre aux disciples de Bel Marduk, les Moabites, mais le Voyant Balaam écoutait la Parole de Jéhovah Dieu.

Voici le récit qui n’a été révélé nulle part.

Il est là, enterré avec de nombreux autres joyaux dans le texte mystique sacré.

Après de nombreuses prières du roi Balak, et après avoir reçu la permission de Dieu de le faire, Balaam va finalement avec les hommes de Balak afin de plaire au roi et de lui montrer sa loyauté.
L’âne de Balaam est le héros de ce compte.
Balaam doit avoir été un homme très pieux et droit qui a passé sa vie à conquérir son mental, comme l’ont fait et font de nombreux saints et voyants en Orient.
Son esprit inférieur, le subconscient, est représenté par son âne, sur lequel il chevauchait en toutes occasions parce qu’il lui servait fidèlement.
Seules des impulsions entraînées et purifiées peuvent le faire. Cette pureté a sauvé la vie de Balaam, car il était l’esprit supérieur en action.
Il a voulu être patriotique et par loyauté envers son roi et son pays que Balaam est allé quand Jéhovah lui a donné la permission.
En route, l’ange du Seigneur lui a bloqué le chemin parce qu’il avait mis la moindre cause avant la plus grande. Balaam n’a pas vu l’ange parce que le sens du devoir a obstrué sa vision intérieure.
Mais son esprit inférieur hautement entraîné et purifié, symbolisé par l’âne, a vu l’ange du Seigneur.
L’âne a essayé de faire demi-tour et Balaam l’a frappé de colère. Enfin, la puissance de Jéhovah, comme essence énergétique, a établi un contact direct avec le mental inférieur de Balaam, et il a parlé à Balaam à l’intérieur. Puis il a lui aussi vu l’ange du Seigneur (Nom 22 : 23-36). C’est un incident des plus inhabituels en ce sens qu’un mental inférieur pur sauve le mental supérieur de la destruction par la stupidité. C’est l’inverse de tous les processus naturels, et ne peut s’expliquer que par la vie la plus pure et l’entraînement le plus sévère sur une longue période de temps.
C’est beaucoup plus important en tant qu’incident exceptionnel que le l’âne de Balaam lui parle.

Et maintenant vient l’Inspiration de Balaam, avec l’impact du Courant de l’Esprit de Jéhovah sur lui (Nom 23 : 1-9). « Du haut des rochers, je le vois ; et des collines je le vois. » C’est comme la vision d’Arjuna, quand ses yeux se sont ouverts par Krishna, comme enregistré dans la Bhagavad Gita, et il a vu la Vision du Seigneur de nombreux hôtes.

Voyez-vous ? Les histoires se ressemblent. FR

Les deux lignes suivantes décrivent les Mystiques comme un peuple qui conquiert les qualités animales, symbolisées par l’idolâtrie, en elles-mêmes, et ne les sert pas. « Voici, le peuple habitera seul, et ne sera pas compté parmi les nations. » (Nom 23 : 9)

Cela fait également référence au progrès intérieur de l’individu et aux Mystiques qui sont seuls. Comme nous le savons, l’Israël extérieur est devenu une grande nation.
Même au temps de Balaam, le mot « parabole » était utilisé ; Jéhovah enseignait en paraboles et les Mystiques parlaient en paraboles : « Et l’Esprit de Dieu vint sur lui. Et il a repris sa parabole et a dit :
Balaam, le fils de Beor dit,
et l’homme dont l’œil était fermé dit : ”
(Nu. 24 : 2,3) (cité par l’American Std.
Édition.)
Cela fait référence à l’œil unique de l’Esprit, situé au centre du front et aussi appelé le « troisième ou Tisra Til dans d’autres Écrits et discours sacrés Spirituellement, il était aveugle, comme saint Paul dans le Nouveau Testament, puis son œil intérieur a été ouvert par le Saint-Esprit. Quel miracle, par la grâce de Dieu !

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