Quand quelqu’un laisse sa maison, son pays en quête de loisirs ou pour travailler ailleurs, il est un malade.
Donc, tous ceux qui viennent séjourner à l’hôtel doivent être considéré comme des malades, il n’y pas pire maladie que la nostalgie. On a beau créé toutes sortes d’ambiances pour rendre leurs séjours agréables , les clients d’un hôtel ne le seront jamais, surtout au moment de payer l’addition 😂.
Le médecin lui fait face à quelqu’un qui est faible et qui le considère comme un demi dieu, prêt à tout lui donner pour recouvrer sa santé défaillante, tandis que l’hôtelier a affaire avec un malade qui a toutes ses facultés et qui en arrivant discute des modalités de son séjour du bec à l’ongle , et essaie de tirer tous les avantages qu’il peut , car il prend sa position du client est roi très au sérieux, mais pas a l’hôpital.
Je dirais alors : N’est pas hôtelier qui veut , c’est une VOCATION.
Sur une octave plus élevé ,
je vais étayé ma thèse sur le pourquoi les médecins ont une inclination vers la politique .
Après avoir compris les faiblesses humaines, les médecins arrivent à développer certaines affinités jusqu’à voir l’aura des gens. Plutôt que d’aller consulter d’autres membres qui évoluent dans des domaines différents dans la société , qui auraient pu les aider à comprendre qu’ils ne peuvent pas changer le monde en paradis , car chaque âme est en train d’encourir son destin , que de vouloir jouer sur les platebandes du Créateur qui est Omniscient , omniprésent et omnipotent , qui a créé la scène 🎬 de façon à ce que les acteurs puissent jouer leurs partitions pour un temps alloué , un temps qui a été millimétré avec justesse par Lui et que personne ne doit rien y ajouter ni retrancher.
J’ai reçu hier un texte assez intéressant qui pourrait servir d’introduction à la lecture de plusieurs textes que j’ai déjà publié sur mon blog intitulé : Rééducation à la portée de tous, dont la lecture peut aider à comprendre ce que c’est que l’homme réel.
Voici la teneur suivit de quelques références :
Page suivante SVP 👇🏿
Grâce à ce tour d’horizon dans le véhicule de ton verbe cultivé, j’ai découvert comment les médecins se laissent attirés sur la scène politique. Le genre humain étant leur domaine d’étude dans toutes ses parties, ils ont dû penser malgré eux qu’ils pourraient être d’une certaine utilité pour relever les défis relatifs à l’instabilité sous toutes ses formes. Mais quand ils parviennent au timon des affaires et réalisent que la réalité est bien plus complexe et demande bien plus pour être changée, ils finissent souvent par se résigner de s’y adapter pour tenter de sauver la face. C’est ainsi qu’avec les fortunes réalisées, ils investissent fort souvent dans des champs d’investissements qu’ils ne maîtrisent pas. Voilà une suite d’expériences entreprises comme des apprentis sorciers déboussolés, après l’abandon d’une profession dorée et utile en temps réel à l’humanité. Toutefois, il a été énoncé quelque part, qu’il vaut mieux échouer que de ne jamais essayer. Mais pas dans tous les domaines et surtout pas dans celui en rapport avec la politique et dans lequel chaque erreur peut signifier un pas vers la disparition de tout un peuple. En ce sens, je dirais plutôt que l’appât du gain empaqueté dans l’enveloppe du pouvoir est implicitement ce qui attire les médecins et tant d’autres professionnels vers les arènes infernales du pouvoir politique. Science sans conscience n’est que ruine de l’âme selon François Rablais. Chaque être humain arrive dans ce monde avec ses affinités. Et il appartient à la société de les canaliser comme il faut pour avoir l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Cela aidera à éliminer les défauts et, l’unité dont nous avons grand besoin pour vivre en communauté bien administrées se réalisera peu à peu. C’est alors que le moment pour travailler le grand éveil de l’humanité arrivera et le renouvellement de toutes choses se fera à chaque bon pas dans la bonne direction du respect des droits et des devoirs sans déboires. Merci mon ami pour ta contribution dans le bon et beau travail de rééducation des autres.
Quelle magistrale contribution qui apporte plus de verve dans le développement du sujet .
Tu n’as cependant pas piper mot en ce qui a trait au côté spirituel que j’avais voulu associé avec le côté humanisme extérieur de ce noble métier qu’est la médecine.
A moi de te remercier cher ami.
J’ai brossé le côté spirituel dans la partie où je mentionne quand le vrai travail d’éveil de l’humanité pourra enfin commencer. Les symboles métaphoriques évoqués de manière bien agencés transporte le lecteur dans un autre univers de manière inattendue. C’est comme faire du cop à l’âne sans descendre le dos de l’âne ni perdre de vue le coq dans le file du développement du sujet. Félicitations mon cher ami, tu as le don de desservir tes hôtes tant implicitement qu’explicitement
J’ai lu ton texte il y a 2 ou 3 jours. Entre maintes autres reflexions, j’ai pensé à combien d’entre nous ont embrassé la profession non par vocation mais pour un visa vers la politique. Au moment opportun, ils échangent la blouse blanche pour montrer le transfuge qui était aux aguêts sous leur peau.
Arthur Schopenhauer généralise à peu près en ces mots:’Ce n’est pas pour le bien des autres que l’homme cherche la politique
mais pour les honneurs et privilèges qu’il y trouve’.
*Primo non nocere* surtout ne pas nuire, dit la première règle du Serment d’Hypocrate.
La politique nuit. Le médecin par vocation l’évite. Si elle est trop contagieuse et s’impose comme pathologie sociale aigüe ou endémique, voire pandémique, le médecin se doit d’en chercher cause et remède. Beaucoup de collègues voient et dénoncent les méfaits et effets secondaires. Konbit Bare dévoile (anglais uncover) le concept de POUVOIR comme la cause ou l’agent pathogène à éradiquer, non à modifier ou à atténuer.