Un chapitre du livre :
POURQUOI FAIRE LA BONNE CHOSE ?
Publié par :RADHA SOAMI SATSANG BEAS.
Chapitre 5
Se défoncer – Quel genre de vie voulez-vous.
Nous hurlions de rire, incapables de parler alors que nous cherchions de l’air, nous frappions les genoux et essuyions nos yeux souriants. Cinq adultes, agissant comme des écoliers. Assis dans un grand salon, blotti sous des couvertures, mangeant du chocolat et jouant à un jeu de cartes qui impliquait de finir des phrases avec des réponses idiotes. Pas une goutte d’alcool dans la maison. Pas une bouffée d’herbe. Pas de drogue de fête du tout. Simplement des amis qui plaisantent, avec rien de plus lourd que l’humour, l’affection et le sucre.
** Quelques dizaines de personnes par une nuit d’été se détendent sous de grands chênes, le ventre plein après un dîner en plein air. Deux personnes avaient des guitares, une un harmonica et une autre un ukulélé. Nous avions tous des voix – certaines entraînées et charmantes, certaines brutes et intéressantes, certaines timides – pour chanter des chansons anciennes et nouvelles. Nous avions nagé dans l’après-midi chaud, et maintenant, dans la soirée sombre, nous avons fermé nos vestes, enveloppé les tout-petits endormis dans des châles et nous sommes installés avec contentement sur des couvertures en grand cercle. Au milieu, de jeunes enfants tournoyaient avec abandon. Les adolescents étaient assis légèrement à l’écart près d’un feu, discutant et attisant les flammes. Un par un, nous nous sommes relayés, chacun dirigeant une chanson, récitant un poème, racontant une histoire ou passant son tour à quelqu’un d’autre.
Pas d’alcool ni de drogues.
Sur le toit-terrasse, une douzaine d’entre nous, séparés depuis quelques années et heureux d’être enfin ensemble, avons rempli les tables de tortillas fraîches, de riz, de haricots et de paella au safran. Soda, thé froid ou eau tintaient contre les glaçons dans nos verres. Alors que le soleil se couchait au loin sous l’océan, nous avons regardé les couleurs se répandre dans le ciel et avons porté un toast à l’amitié.
Encore une fois, pas d’alcool ni de drogues.
Ces personnes, et d’innombrables autres personnes dans le monde, souffrent ou font face à du stress.
En raison d’expériences pratiques, de croyances religieuses, de pratiques spirituelles ou de raisons de santé, ils ne consomment ni drogues ni alcool.
Ils ne sont pas intéressés à boire, à se défoncer ou à se défoncer pour une chose ou une autre.
Parfois, les gens font le choix d’éviter toutes les substances intoxicantes en raison d’expériences de vie difficiles. Peut-être ont-ils vécu avec un parent toxicomane. Ils savent que les personnes dépendantes ne sont pas des personnes mauvaises ou méchantes ; ils savent que la dépendance est une maladie qui a besoin d’aide et d’un traitement approprié, et non de jugement. Mais ils ont aussi vu que c’est une maladie qui peut ruiner des vies.
Pour les enfants de personnes souffrant d’addiction, il existe des groupes de soutien pour les aider à s’orienter.
Parfois, les gens font le choix d’éviter toutes les substances intoxicantes à cause d’un événement traumatisant : un conducteur ivre, un accident, la mort d’un ami. Parfois, il ne faut pas un tel traumatisme pour pousser une personne à faire ce choix. Le souvenir d’une fête, quelques verres de trop, l’esprit qui tourne, quelques paroles regrettables et des actes embarrassants peuvent suffire.
Pourquoi faire la bonne chose ?
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Danser le ballet de la vie à la cadence des choix avisés tout en s’adonnant à des activités ludiques, c’est une cure efficace et spontanée pour l’être tout entier
L’eau du bonheur coule dans les sillons d’une existence dégagée de toute duplicité au cœur d’une amitié bien entretenue avec soi et tous les éléments de son environnement physique
Un regard d’un débonnaire suffit à faire allumer le feu de l’amour dans une âme affamée de beauté dans la bonté à la base de la création de nos belles passions qui nous poussent à vivre dans la douceur d’une belle harmonie jour et nuit
Chaque bonne pensée bien exprimée attire l’admiration des dieux sur la belle manière dont évolue notre humanité longtemps exposée aux souffrances qu’ont occasionnées nos mauvais choix passés
Par interférence, chacun de nous est traversé par les ondes en provenance de chaque vibration en action dans la formation des nouvelles situation que nous sommes obligés de vivre
Nous sommes les créateurs de notre destinée commune
Ensemble nous pouvons construire le chalet parfumé de bonheurs où nos âmes souhaitent cohabiter dans la splendeur des attentes de rêve par la culture universelle des bonnes valeurs
Si nous travaillons jusqu’à parvenir à une compréhension commune que les problèmes de l’un entravent le bonheur des autres, nous saurons alors comment conjuguer ensemble nos efforts pour l’avènement d’un nouvel âge d’or
Merci mon ami pour tes efforts productifs dans le travail de rééducation des autres !