La Pâque – Pourquoi vouloir vivre ici-bas éternellement 3 ?

Je  n’ai malheureusement reçu que deux commentaires ou réponses , puisque tout le monde est sûrement préoccupé à célébrer ce jour de grande réflexion à fêter et à faire bombances .

L’un des amis a mis la main sur une facette de ce chapitre, et voici sa constatation:

  1. « Je Les versets 50 et 58 sont souvent négligés et peu abordés dans les sermons. »

Il n’a pas tort , mais moi , je sais pourquoi ?

La mauvaise habitude de sauter aux  conclusions ou de (Conclure sans réflexion) juste après avoir lu quelques versets , que l’impatience et le manque de savoir vivre qui nous font défaut,  nous ne savons pas que le meilleur est toujours servi en dernier.

Mais voici comment Jimmy qui a pris l’habitude de réfléchir et sûrement inspiré par Saint-Hilaire son nom de famille pour nous faire une belle présentation.

Il a écrit un chapitre sur lequel  les canonistes devraient se pencher et passer au vote afin de l’intégrer dans la Bible pour la postérité:

Une Âme vivante à la naissance et un Esprit vivifiant à la résurrection se réfère à l’épopée de L’âme au cœur des flammes de nos passions à vivre en accord avec les belles valeurs que le Seigneur nous a enseignées en douceur dans le but de nous parfaire.

La désobéissance de nos premiers parents a donné naissance au jeu de la dualité où la vie doit désormais apprendre à jouer dans les sillons des erreurs à éviter à chaque contrée afin d’éviter la fatalité de la mort jusqu’à retrouver le chemin menant à l’arbre de vie caché et bien protégé dans le jardin de Dieu.

De la poussière, Adam fut tiré et animé par le souffle de Dieu dans le dessein de dominer avec amour et beaucoup de sagesses sur la création émanant de la Parole qui était avec Dieu et qui était Dieu.

Chaque nouveau né est un fruit de l’amour divin qui, de la matrice aux  seins maternelles, a été sagement entretenu selon le vœu de la promesse éternelle de la Vie aux vies qu’elle chérie à l’infini dans ses parvis.

Étant créé à son image et à sa ressemblance,  nous sommes dotés des  potentialités et moyens pour orienter chacun de nos désirs dans le sens de sa volonté comme une gerbe de beauté parfumée à la gloire de sa grande Majesté.

Cette dernière se manifeste d’ailleurs dans toute sa création où tout s’écrit : « Gloire! »

C’est au cœur d’une cohésion parfaite des parties avec le tout que le Dieu jaloux prend rendez-vous avec nous pour la grande fête éternelle dans les félicité de son royaume où règne la grande et belle unité que vivent ses enfants bien-aimés.

Est-ce pourquoi, il nous demande constamment de nous aimer mutuellement comme lui-même  nous aime.

Car seul l’amour véritable peut nous amener à la perfection qu’exige notre résurrection dans des corps de gloires et incorruptibles destinés à être habités par un Esprit vivifiant.

« Obéir vaut mieux qu’un sacrifice » déclara le prophète Samuel au roi Saül.

Sinon, nous sommes condamnés à chercher en vain dans l’adversité et au prix de grands sacrifices, la compréhension des oracles de Dieu.

Comme l’enfant prodigue, nous devons prendre conscience de la nécessité que nous avons tous à reprendre le chemin menant vers la maison du Père.

En accord avec sa volonté, nous sommes destinés à faire des prodiges dans nos élans de cœur à verser des sueurs dans les exercices entrepris pour la repentance qu’exige notre retour sur le chemin du vrai bonheur.

Autrement,  nous aurons beau essayer tous les autres moyens autre que la voie menant à l’amour de Dieu et du prochain,  ce sera toujours des efforts consentis en vain et pour rien

Car, la mort ne se laissera jamais vaincre par les morts qui ne cessent d’ensevelir leur mort sans remords des torts causées à tort dans le décor des grands trésors pourvus par le Dieu qui a tout créé dans un jeu d’accord que reflète la perfection des beaux corps et âmes vivants à l’opposé des principes du veau d’or.

L’apôtre Paul dans ses envolées fut transporté hors de son coprs charnel pour pourvoir ses grands apports aux pores nettoyés et apprêtés à laisser entrer les effluves divines.

Car, pour pouvoir regagner les belles sphères célestes, il faut se décharger des fardeaux du pêcher par un abandon total de soi à la volonté de Dieu.

L’attachement aux acquisitions terrestres est incompatible aux exigences des travaux du royaume céleste.

Et pour partir de la terre au ciel, nous devons adopter la position et l’attitude de l’arc-en-ciel après avoir échappé son âme de l’illusion du réel matériel très irréel sur le plan spirituel.

Jimmy St-Hilaire

En conclusion je vous passe ma réponse à l’ami qui a pointé du droit les verset 50 et 58 comme suit:

Nous avons affaire avec des moitiés croyants et des moitiés athées.

Voici comment je l’explique :

https://www.frantzrimpel.com/2018/04/26/moitie-athees-moitie-croyant

 

2 commentaires

  1. Ta sensibilité aux inspirations vivantes te fait cultiver une attitude rafraichissante qui comme une eau fraîche et limpide se déversant sur le potager des consciences assoiffées d’un grand réveil.
    Comme un rappel en appel des merveilles que nous sommes à merveilles dans cet espace rempli de merveilles, les oreilles bien exercées sauront capter le message de salut que même le vol d’un abeille véhicule avec une clarté sans pareille.
    Il ne faut pas douter du doute de ceux qui expriment leur doute au sujet des vérités exposées avec autant de clartés.
    Car, ces gens s’affairent à regarder en direction des faiblesses potentielles de l’émetteur du message plutôt qu’à l’endroit ou brille la splendeur révélatrice de l’invitation à la grandeur que lance le message à chaque âme assoiffée de lumière pour sa libération.
    Un tant soit peu, le peu de vérité exprimées suffira à faire sortir des ténèbres à la belle lumière des âmes apprêtées au processus du renouvellement éternel.
    Alors, il est de bon ton d’adopter le ton que prend l’essence des messages du travail de rééducation pour continuer l’œuvre de prédication aux cœurs souffrants.
    Il s’agit là d’un geste d’amour à l’égard des autres qui veulent bien trouver de quoi ressourcer leur for intérieur en dépit des turbulences que connaissent les vies tournées vers l’extérieure.
    Dieu est amour, et tout ce qui se fait par amour vient de Celui qui nous a prédestiné pour vivre dans Son amour à travers les preuves de manifestations d’amour que nous faisons montre dans notre entourage.
    En ce sens, il faut voir la résurrection comme une succession de morts de nos habitudes mauvaises devant aboutir à la grandeur de notre Moi en liesse sur une terre nouvelle.
    C’est là qu’aura lieu notre pâque au contact de la grandeur de nos actes les plus insignifiant et dont la chaleur suffira à faire éclore (l’œuf) qui jusque-là touchait les beautés du ciel et des merveilles de la terre.

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