DJT L’AVATAR Qui vient renverser l’ordre des choses

j’espère que Tik Tok ne fera pas disparaître cette vidéo de sitôt.

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Après avoir écouté cette dame que je qualifierais de GNB, je me suis souvenu de cet article D’AYIBOPOST que j’avais conservé dans mes archives, car j’avais vu venir des changements de manière imminente, et ma question est :

Est-ce vrais ou est-ce un show ?

J’espère que non, voir mon récent texte :

N’AYEZ PAS PEUR 😨.

Dans un autre texte sur cette plateforme intitulé : indignons-nous Enfin, j’avais déjà démontré comment les Organisations Non Gouvernementales , communément appelée (ONG) étaient néfastes pour notre pays sur les plans politique, économique, financier et social.

Donald Trump est-il l’Avatar tant attendu qui viendrait pour renverser les plans machiavéliques que des génies maléfiques du plus grand pays du monde avaient posé les jalons qui ont fait beaucoup de mal à de nombreux pays ?
Il est perçu comme un ennemi du bien, mais, serait-il ce chirurgien qui doit faire une opération qui fait mal , mais c’est afin qu’une maladie ne se dégénère jusqu’à provoquer la mort ?

L’Avenir seul dira le reste.

Cet article magistral explique de façon irréfutable la situation D’Haiti qui semble insoluble.

*TOUS LES HAÏTIENS PRÉOCCUPÉS PAR L’AVENIR DE LEUR PAYS DOIVENT LE LIRE.*

Il n’y a pas de nom d’auteur. C’est sans doute un collectif.

AYIBOPOST

« On a si peu l’habitude du vrai, que la moindre vérité la plus placidement émise, prend tout de suite un air d’arrogance. » (Fernand Venanderem)

Faut-il s’acharner à blâmer la marionnette qui agit sans remonter à la main qui l’active et au cerveau qui commande cette main ?

Haïti, la première République noire du monde est un pays de profonde misère et d’instabilité récurrente qui jouxte le pays le plus riche de la planète. Le simple bon sens peut-il nous laisser croire d’une entière neutralité des Etats-Unis dans la politique d’un Etat dans son giron ?

En 2010, suite au séisme qui a saccagé Haïti et fait plus de 250 000 morts, l’ancien président américain, William Jefferson Clinton (Bill Clinton), fit un aveu surprenant devant la Commission des affaires étrangères du sénat américain. Dans une déclaration teintée de grande sensiblerie, il endossa la responsabilité de ce que des millions d’Haïtiens meurent de faim aujourd’hui, pour avoir forcé l’Etat haïtien à adopter des mesures de dérégulations commerciales dévastatrices pour l’économie du pays.

« Cette décision a peut être été profitable à quelques agriculteurs de l’Arkansas, mais elle n’a pas marché, admit-il. Ce fut une erreur. J’ai du vivre tous les jours avec ce remords de la baisse de la capacité de production de riz capable de nourrir le peuple haïtien. Tout cela, à cause de ce que j’ai fait. »

Bill Clinton est le président américain sous l’administration duquel la deuxième occupation américaine d’Haïti s’était renforcée en 1994 avec l’intervention de 22 000 marines après que les Etats-Unis, sur demande de l’ancien président Jean Bertrand Aristide, imposa l’embargo dévastateur qui décima la classe moyenne et accéléra la paupérisation des masses. Curieusement, un an après le séisme dévastateur de 2010, le président Michel Martelly décora Bill Clinton de la médaille la plus prestigieuse de l’Etat haïtien.

On comprend plus tard le sens de cette distinction, lorsque le site arabe Al Jazeera révéla que l’agence américaine USAID finança l’élection de Martelly en 2010. D’ailleurs, en Haïti, on cernait fort mal l’intérêt de la cheffe de la diplomatie américaine d’alors, Hilary Clinton, qui a fait personnellement le voyage pour décider de l’issue du scrutin. L’actuel président du Conseil électoral provisoire, juge du CEP qui organisa les élections de 2010, Pierre Louis Opont, a d’ailleurs confirmé qu’effectivement les résultats proclamés en 2011 n’ont pas été ceux du conseil électoral. Ne s’agit-il pas d’un retour d’ascenseur, lorsque l’un des deux contrats miniers accordé par Haïti depuis plus de 50 ans, bénéficie à la compagnie du frère de Hilary Clinton ?

Une tradition d’ingérence

Il faut rappeler que la USAID n’est pas à son premier coup d’essai dans l’exercice de l’ingérence en Haïti. Le journal Le Monde diplomatique révèle par exemple, que l’agence a dépensé 36 millions de dollars pour que l’ancien fonctionnaire de la Banque Mondiale, Marc Bazin, remporte les élections de 1991 au détriment du populaire leader des masses d’alors, Jean Bertrand Aristide.

La USAID est l’agence de « développement » omniprésente en Haïti qui multiplie pas mal les incohérences. Parmi les plus flagrantes, on peut mentionner ses investissements importants dans la filière agricole. Alors qu’Haïti est aujourd’hui le troisième consommateur mondial du riz des Etats-Unis, la USAID a investi en 2013 des dizaines de millions de dollars dans le développement du riz haïtien.

L’objectif réel n’a pas été de promouvoir véritablement la relance de cette filière, puisque depuis 1989 le Congrès américain avait voté le Bumper’s Amendment. Cette loi interdit l’Etat américain d’investir dans un pays où il intervient, dans le développement de produits susceptibles de rivaliser les produits américains. Un technicien haïtien a bien démontré les absurdités techniques d’un tel investissement. Et effectivement, le projet WINNER pour la filière du riz a bien tourné au fiasco.

L’économie d’Haïti a toujours reposé essentiellement sur l’agriculture et les USA sont actuellement le premier fournisseur du marché en produits agricoles. Comment logiquement, les Etats-Unis peuvent-ils promouvoir des filières qui risquent de concurrencer leurs propres produits sur le marché haïtien ?

Les conséquences désastreuses du Bumper’s Amendment sur le modèle de coopération d’Haïti avec les Etats-Unis ont porté l’ONG Oxfam a requérir en vain un assouplissement du Bumper’s Amendment en faveur d’Haïti.

Des gouvernements antidémocratiques made in America

Les Etat-Unis ont appuyé la dictature des Duvalier- l’une des plus brutales de l’histoire- qui occupa le pouvoir en Haïti pendant 29 ans. Après la chute des Duvalier en 1986, ils mis en place et supporté une succession de régimes anarcho-populistes corrompus et rétrogrades C’est dans cet optique qu’ils ont hissé Michel Martelly au pouvoir, un chanteur qui faisait l’apologie de l’indécence, pour humilier davantage la société haïtienne. Jamais l’establishment américain accepterait une Myley Cirus ou un Snoop Dogg siéger à la maison blanche pour présider le destin de millions d’américains. Pourtant, c’est leur homologue que les Etats-Unis choisissent d’installer président de la République d’Haïti.

Cette politique d’humiliation a aujourd’hui affaibli Haïti à un niveau qui dépasse l’imagination. Jamais Haïti n’a été aussi pauvre de toute son histoire et l’ingérence des Etats-Unis dans sa politique s’accentue parallèlement à cette descente.

 

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