Oui, Reveilez-Vous
Vous êtes des êtres conscients, alors sortez de votre profond sommeil.
Les religieux parlent de veille, mais ici, nous parlons de réveil.
Ils savent bien comment ils nous ont envoûter avec leurs mauvaises interprétations des préceptes.
Pour ne pas nous perdre tout à fait, ils nous demandent de rester éveiller jusqu’à ce que nous soyons sous leur emprise totale.
Karl Marx dit: “La religion est l’opium du peuple.”
Dr. Froylan Alvarado Guemez Pierre Teilhard de Chardin veut nous libérer de leur charme.
Alors, voici vôtre son de cloche 🔔.
Réveillez-vous.
Né à Orcines le 1er mai 1881 et mort à New York le 10 avril 1995. Théologien, philosophe et paléontologue français, il a construit avec sa pensée une vision intégrée de la science et du mysticisme; de l’évolution de l’esprit et de la pensée.
▪La religion n’est pas seulement une, il y en a des centaines.
▪La spiritualité est une.
▪La religion est pour ceux qui dorment.
▪La spiritualité est pour ceux qui sont éveillés.
▪La religion est pour ceux qui ont besoin de quelqu’un pour leur dire quoi faire et qui veulent être guidés.
▪La spiritualité est pour ceux qui prêtent attention à leur voix intérieure.
Pour cela, il faut connaître la vraie méthode pour cette introspection et savoir pourquoi on y entre. FR
▪La religion a un ensemble de règles dogmatiques.
▪La spiritualité nous invite à raisonner sur tout, à tout remettre en question.
Prendre le contrôle de notre mental pour écouter la voix de notre âme. FR
▪La religion menace et fait peur.
▪La spiritualité donne la paix intérieure.
▪La religion parle de péché et de culpabilité.
▪La spiritualité dit: «apprends de l’erreur».
▪La religion réprime tout et dans certains cas c’est faux.
▪La spiritualité transcende tout, elle vous rapproche de votre vérité!
▪La religion parle d’un dieu; Ce n’est pas Dieu.
▪La spiritualité est tout et, par conséquent, elle est en Dieu.
▪La religion invente.
▪La spiritualité trouve.
Pour ce faire , il faut savoir chercher, demander, puis frapper afin de trouver. F.R
▪La religion ne tolère aucune question.
▪La spiritualité questionne tout.
▪La religion est humaine, c’est une organisation avec des règles masculines.
▪La spiritualité est divine, sans règles humaines.
▪La religion est la cause des divisions.
▪La spiritualité unit.
▪La religion cherche à vous faire croire.
▪La spiritualité, il faut la chercher pour la croire.
Cette croyance doit culminer à la compréhension puis à la connaissance. On ne peut pas croire toute sa vie, sinon, on avance pas. Et, qui n’avance pas , recule. FR
▪La religion suit les préceptes d’un livre sacré.
▪La spiritualité cherche le sacré dans tous les livres.
Pour enfin le trouver réellement en soi. F.R
▪La religion se nourrit de la peur.
▪La spiritualité nourrit la confiance et la foi.
▪La religion vit dans la pensée.
▪La spiritualité vit dans la conscience.
Être conscient c’est faire fi du mental pour écouter la voie de son âme, d’où l’introspection. F.R
▪La religion s’occupe de faire.
▪La spiritualité a à voir avec le soi.
Le salut est personnel.FR
▪La religion nourrit l’égo.
▪La spiritualité pousse à transcender.
▪La religion nous fait renoncer au monde pour suivre un dieu.
▪La spiritualité nous fait vivre en Dieu sans nous rendre
▪La religion est un culte.
▪La spiritualité est la méditation.
C’est à dire, prendre conscience et mettre en application ce qu’on aura recueilli, envers et contre tous.FR
▪La religion nous remplit de rêves de gloire au paradis.
▪La spiritualité nous fait vivre la gloire et le paradis ici et maintenant
Car notre destination finale est au cieux auxquelles la religion n’a pas accès.FR
▪La religion vit dans le passé et dans le futur.
▪La spiritualité vit dans le présent.
▪La religion crée des cloîtres dans notre mémoire.
▪La spiritualité libère notre conscience.
▪La religion nous fait croire à la vie éternelle.
▪La spiritualité nous rend conscients de la vie éternelle.
▪La religion promet la vie après la mort.
▪La spiritualité consiste à trouver Dieu dans notre intérieur pendant la vie et la mort.
Nous existons pour préparer la vie qui n’est pas ici bas.FR
–Nous ne sommes pas des êtres humains qui vivent une expérience spirituelle.
-Nous sommes des êtres spirituels et nous traversons une expérience humaine.-
Avec ce changement de paradigmes, notre compréhension des écrits saints sera plus consciente et ne se prêtera plus à l’erreur.FR
En un mot, la religion est addictive et stressante alors que la spiritualité est la liberté de croire en Dieu sans aucune condition.
*À méditer sans passion.*
Les message ci-dessus ne doivent prêter à aucun équivoque.
Beaucoup de sectes et dénominations religieuses disent qu’ils font de la spiritualité.
Voyez ci-dessous comment le dictionnaire explique les différentes approches.
À chacun de déterminer là où il est et de chercher la vraie voie.
Vous verrez que le Mysticisme est ce qui est plus proche à la vraie spiritualité, à ne pas confondre avec le spiritisme.FR
Bonjour, j’aimerai savoir de qui est ce joli texte que vous avez posté et qui commence ainsi :
« la religion n’est pas seulement une, il y en a des centaines.
La spiritualité est une.
… »
Savez vous où je peux trouver une version originale de ce texte ?
Merci, bravo !
Excusez-moi pour la réponse tardive.
J’avais bien introduit le texte en tant qu’une réponse qu’à voulu donner Teilhard De Chardin à Karl Marx qui dit que : La religion est l’opium du peuple.”
de Chardin disait vouloir nous libérer de leur charme.
Voici l’extrait d’un texte dont vous pouvez lire tout le contenu sur Google :
A maintes reprises, TEILHARD DE CHARDIN a souligné que son oeuvre visait à « mettre d’accord christologie et évolution »2. Ainsi l’on peut lire ces lignes dans « Comment je crois »: « Présentiment le savoir humain se présente entièrement sous le signe de l’évolution reconnue comme une propriété première du Réel expérimental: si bien que rien n’entre plus dans nos constructions que ce qui satisfait d’abord aux conditions d’un divers en voie de transformation. Un Christ dont les traits ne se plieraient pas aux exigences d’un monde à structure évolutive sera de plus en plus éliminé sans examen ultérieur (…) Et en revanche, pour être pleinement adorable, un Christ doit se pré- senter comme le sauveur de l’idée et de la réalité de l’Évolution ». Cette christologie évolutive, ou christogénèse, n’est pas découverte de Teilhard. Elle est essentielle au christianisme qui situe l’histoire du peuple de Dieu dans un processus évolutif se dé- roulant d’Alpha en Omega, de la Genèse à l’Apocalypse. Mais elle est particulièrement explicite et fondamentale en tant que construction progressive du corps du Christ s’achevant un jour: le Jour du Seigneur. Il existe un oméga paulinien tout aussi nettement désigné que l’oméga teilhardien, par exemple dans l’Épître aux Éphésiens: « Il nous a fait connaître le mystère de sa volonté, le dessein bienveillant qu’il a d’avance arrêté en lui-même pour mener les temps à leur accomplissement: réunir l’univers entier sous un seul chef, le Christ, ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la Terre » (Ep 1-10). Cette polarisation de l’Histoire en direction d’un accomplissement des temps caractérise même l’une de innovations les plus radicales de la révélation chrétienne, en opposition totale avec la repré- sentation cyclique de l’Histoire chez les Grecs, selon la loi de l’éternel retour. Le Christ s’est incarné pour nous apprendre que l’Histoire avait un sens et qu’il était lui-même, dans sa totalité transcendante et plénière que Paul nomme « Plérôme », à la fois principe, fin et centre de l’Histoire. Et cependant, il a fallu attendre les conquêtes de la science concernant, au siècle dernier, l’évolution des espèces, mais aussi au cours de notre siècle celle des astres et celle des particules élémentaires, pour que ce sens christique de l’histoire commence à être compris et assumé. Reconnaissons-le: le christianisme triomphant s’était installé jusqu’aux années cinquante dans le cocon d’une histoire à nouveau scellée et close tout à fait étrangère à l’attente fiévreuse des premiers Chré- tiens tendus vers le Retour du Christ. Il a fallu que l’évolution devienne vérité de science pour réactiver ce qu’elle a toujours été: une vérité de foi. Il a fallu l’aiguillon de la science pour rappeler à la chrysalide trop confortablement nichée que son état de nymphe n’était que transitoire, pour secouer son sommeil et l’inviter à se préparer à prendre un jour son vol, à se métamorphoser.