Pourquoi la vertu ne court pas les rues ?
« Au fur à mesure que l’on avance, on devient plus sage, toutefois, sagesse ne veut pas dire tolérance.
L’Ecclésiastes avait bien dit: Il y a un temps pour chaque chose et chaque chose en son temps.
Peut-on transcender le temps ?
L’Hindouisme parle des âges qui se suivent mais que nous les hommes ne devrions pas nous laisser envelopper par ces changements qui devront avoir lieu, mais, de les transcender.
Comment se prémunir pour ne pas être pris de cours par la mode et les moeurs ?
Il y a toujours la voie du juste milieu qui est bien gardée par des saints hommes vivants, afin de faire connaître et respecter les prérogatives divines des différentes naissances.
L’Hindouisme explique ce qu’a voulu exprimer l’Ecclésiastes concernant le temps:
« Ce quatrième âge corrompu est l’âge Kali, ou l’âge du fer, caractérisé par le déclin spirituel de la civilisation, la violence, les fléaux et une profanation tragique de la nature.
L’Âge de Kali précède immédiatement la destruction complète, qui évolue alors vers la pureté de l’Âge d’Or, lorsque le cycle recommence.
Selon l’hindouisme, lorsque le mal et le chaos dans le monde atteignent leur apogée d’obscénité intolérable, un avatar – incarnation de l’être suprême – apparaît sur Terre et restaure la droiture et la pureté de l’humanité. Les Puranas hindous, qui sont un entrelacement écrit de la mythologie et de l’histoire, contiennent une liste de prophéties impliquant ce concept cyclique qui est aussi proche que l’hindouisme vient à la conception d’autres religions de la fin des temps : «
Je reviens encore et toujours avec ce verset qui parle du quatrième type de volition des cinq types d’hommes qui prennent naissance à des degrés différents dans le monde physique.
Jean 1 : 13 non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.
Puisqu’on parle de Témoignages de chrétiens sur l’homosexualité.
Le christianisme est tout amour certes, mais ne tolère pas de dénaturation.
Voir lien en fin de texte :
Voici ce que nous avons retenus dans l’un des chapitres du livre : HISTOIRE DU CHRISTIANISME AU MOYEN ÂGE :
« La raison permet à l’homme de choisir librement et présente à la volonté les objets de la volition. Certaines vertus, comme la prudence et la tempérance, peuvent être normalement Accessibles à l’homme, alors que des vertus surnaturelles comme la foi, l’espérance et la charité ne nous sont données que par la grâce de Dieu. La grâce ne supprime jamais la nature, elle ne fait que la rendre plus parfaite. La séparation radicale entre la nature et la grâce qu’avait établie Augustin, est la réalité laissée de côté par Thomas d’Aquin. La Rédemption, pour lui, apparait plutôt comme une suite à la Création que comme la restauration d’une Création transformée. La raison et la foi coexistent harmonieusement : la foi complète la raison et la dépasse de beaucoup, mais ne la contredit jamais. Thomas d’Aquin parlait de sa théologie naturelle (ou philosophie) par un exposé complet des vérités révélées. »
Dans un tout récent texte : (Le défi que doit relever la religion) , j’ai cité Bacon sans élaboré, voici ce qu’il avait dit et qui peut permettre à la religion de se rattraper. Je l’espère bien grâce aux outils que la science a mis à la disposition de tous.
Bacon énumère sept défauts qui marquent l’étude de la théologie :
La théologie est a tel point dominé par la philosophie que des question sublimes comme la Trinité, l’Incarnation et les Sacrements sont discutés en empruntant les vues des principaux philosophes, leurs arguments et leurs distinctions. Or la philosophie n’a pas droit a une autorité spéciale en dehors de son propre domaine ; 2) Les sciences les plus intéressantes, les langues anciennes, les mathématiques, l’optique les langues anciennes, les mathématiques, l’optique les sciences expérimentales, l’alchimie qui pourraient aider la théologie en lui permettant d’avoir une vue plus adéquate de la Création, sont totalement négligées par les théologiens ; 3) en même temps, les théologiens sont généralement ignorants des sciences secondaires qu’ils tentent d’utiliser, c’est-à-dire la grammaire latine. La logique, la physique dans ces parties les plus simples et un certain type de métaphysique ; 4) les Sentences de Pierre Lombard ont remplacé les Ecritures
5) dans la Vulgate, le texte des Ecritures est corrompu, si bien que,
6) le sens littéral de certains passages est vague et en conséquence,
7) leur message spirituel est compromis par le doute et l’erreur.
Bacon, toutefois, était beaucoup plus qu’une simple critique. Il n’énumérait les erreurs de son temps que pour tenter de les corriger. A un savoir erroné et une soumission servile aux erreurs du passé, il voulait substituer la compréhension de la vérité. Dans l’esprit de Bacon cela constituait une méthode nouvelle, un procédé tout différent pour confirmer la validité des propositions et des assertions.
En conséquence, il préconisait 1. L’étude des langues anciennes pour que les Ecritures et d’autres œuvres faisant autorité puissent lues dans le texte original ; 2. L’étude des sciences élevées, les mathématiques, l’optique (physique), l’astrologie, et 3. L’usage diligent de la discipline (elle-même une science) d’expérimentation (scientia expérimentalis).
Evidemment, les discussions de Bacon sur l’intérêt des mathématiques, de, l’optique et même de sa définition de la méthode expérimentale qui le place parmi les grands savants, Sciencia experimentalis, selon lui, n’est pas seulement la meilleure des sciences, mais elle a confirmé ou infirmé les conclusions anciennes et par conséquent les domine toutes.
Cette science n’a rien à voir avec les arguments de la logique, elle tente plutôt d’éprouver par l’observation et l’expérimentation, la valeur des conclusions obtenues a l’aide des autres sciences. La science expérimentale n’accepte rien dans l’ordre de la création tant qu’elle n’a pas éprouvé et prouvé la valeur des témoignages recueillis pour le domaine spécifique de ces témoignages.
On ne peut pas dire au hasard, qu’un chien respire comme un homme, il faut avoir observé la respiration de l’homme et du chien pour parvenir à une telle conclusion.
Et, en conclusion, puisqu’il est question de chrétienté, voyons quelques versets sur la parabole du bon grain et de l’ivraie:
Matthieu 13-40-43
38 le champ, c’est le monde; la bonne semence, ce sont les fils du royaume; l’ivraie, ce sont les fils du malin;
39 l’ennemi qui l’a semée, c’est le diable; la moisson, c’est la fin du monde; les moissonneurs, ce sont les anges.
40 Or, comme on arrache l’ivraie et qu’on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde.
41 Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité:
42 et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
43 Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.
Le diable 👿 n’est pas extérieur, mais ce que l’homme a choisit de créer et d’alimenter par son libre choix.
Voici le lien comme promis.
Bonne lecture.
https://ayibopost.com/temoignages-de-chretiens-haitiens-homosexuels/
Dans Romain 14 , Les préceptes de Tolérance, L’apôtre Paul n’a pas dit qu’il fallait accepter l’inacceptable . Voici pour certains guides qui avaient mis la main 🤚 dans la charrue et qui veulent regarder en arrière .
11 Car il est écrit: Je suis vivant, dit le Seigneur, Tout genou fléchira devant moi, Et toute langue donnera gloire à Dieu.
12 Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même.
13 Ne nous jugeons donc plus les uns les autres; mais pensez plutôt à ne rien faire qui soit pour votre frère une pierre d’achoppement ou une occasion de chute.
Et j’ajouterai: “Malheur à celui par qui le scandale arrive.”
« Alors, les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur père ». Lorsque cela arrivera, les mœurs n’évolueront plus en se dégradant mais en s’améliorant jusqu’à ce que la terre s’imprègne des splendeurs du ciel dans tous ses coins et recoins. L’homosexualité et tous les autres vices sont les conséquences des entêtement de l’homme à tout expérimenter aveuglement dans leur quête de plaisir tout en faisant peu de cas des répercussions négatives de ce comportement sur l’homme., la nature et sur tout l’univers dans le temps et dans l’espace. La théologie dans ses efforts d’appocher la vérité de Dieu a fait feu de tout bois pour satisfaire la curiosité des curieux aventureux dans leur imagination spéculative sur la route de la foi, laquelle est dénuée de raison. Mais pour avoir osé être au centre de temps d’interrogations, la théologie s’impose comme une barrière à franchir pour se libérer des causes et des conséquences qui sont à son origine. En ce qui concerne les éloges adressés aux sciences experimentales pour ses prouesses dans les champs d’applications variées, je dirais qu’ils sont à la fois justes et justifiés. Mais seulement pour ceux-là qui sont limités par leur sens. Car au delà , cette science est un pâle reflet des possibilités de réalisation plus grandes qu’elle ne peut même pas soupçonner en raison de la précarité des outils dont elles dispose. Quand une science est incapable d’embrasser toutes les autres sciences elle est donc devenue une science sans conscience qui ne sert qu’à ruiner notre temps et nos énergies que nous utilisons à satisfaire des bricoles au détriment de tout le reste. C’est ainsi que ton sujet peut-être titré « autres temps autre mœurs » . Car comme le mensonge est instable et change de visage à tout moment, les mœurs changent aussi changent de forme pour épouser celle son père. Et par voie de conséquence, nous vivons dans une illusion du temps qui change mais qui ne change pas ou qui n’existerait même pas si nous apprenions à vivre dans la vérité et l’amour sans se soucier du reste. Merci mon ami pour ta généreuse contribution et bonne continuité.
Cher ami,
Tu ferais bien le travail d’éditorialiste de mon site.
Je vais créer une rubrique éditoriale pour toi , là tu pourrais retrouver toutes tes interventions associées à chaque texte.
Merci aussi pour ta précieuse contribution.
J’espère qu’un jour, quand les mœurs vont changer pour embrasser une forme plus appropriée au besoin de l’homme en quête de perfectionnement, nos efforts seront récompensés.